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Bonjour à tous et à toutes,

Voici mon curriculum vitae que je vous invite à consulter sans modération ! Sachez que celui-ci est également disponible en anglais et en allemand, alors n'hésitez pas à me le demander.

Pour me décrire rapidement, je suis une jeune diplômée de l'INSEEC Paris. Mon profil s'oriente depuis toujours vers des fonctions commerciales. C'est pourquoi aujourd'hui je ne conçois pas d'autres voies pour ma carrière professionnelle: je souhaite retrouver l'engagement de la relation commerciale, le contact clientèle et l'excitation de la vente.

Je suis une personne dynamique, persévérante et à l'écoute motivée à l'idée d'affronter des relations commerciales de haut niveau avec des acteurs professionnels exigeants. Ma disponibilité, ma rigueur et mon organisation seront mes atouts dans le création d'une relation de confiance pérenne garante de la rentabilité sur le long terme de mon action commerciale.

Alors à bientôt,                                                                  

Cordialement,

Emilie GAUDU
06 81 07 21 40

emilie.gaudu@netcourrier.com

Je vous présente ci-dessous l'école de commerce où je termine actuellement mon master, un master de Management et Commerce International.

Le Groupe INSEEC a été fondé en 1975 à Bordeaux autour de valeurs pédagogiques claires : ouverture, adaptabilité et compétences. En 1988, dans un contexte européen devenu réalité, le Groupe a décliné ces principes dans un programme international après Bac dont l’ambition était et reste aujourd’hui celle de doter ses étudiants d’un CV international doublé d’un diplôme solide, visé par l’Etat.

Avec près de 7 000 étudiants, un corps professoral de plus de 300 enseignants chercheurs ou praticiens d’entreprise, 97 Universités partenaires dans le monde, le Groupe INSEEC est l’un des tout premiers groupes d’enseignement supérieur en Management français.
Implanté dans trois villes, Paris, Bordeaux et Lyon, le Groupe allie toutes les possibilités offertes par la capitale et le dynamisme convivial de deux grandes métropoles régionales. Adossé depuis trois ans à un groupe international de grande envergure, le Groupe INSEEC, précurseur, a su ainsi rentrer de plain pied dans la sphère devenue mondiale du marché de l’Enseignement Supérieur.

COURS TRANSVERSAUX ET FONDAMENTAUX


Stratégies et techniques du commerce international
Marketing et globalisation
International Business Law
International Accounting
Géopolitique et relations internationales
Comptabilité et analyse financière


COURS SPÉCIALISÉS


Incoterms
Techniques financières internationales
Financement des grands contrats exports
International Negotiation
International Distribution Networks

DÉVELOPPEMENT DES MARCHÉS ÉTRANGERS

Études de marché à l’international
American Markets
European Markets
Marché chinois

Objectifs de la formation

Ce Master me permet à présent d'évoluer dans des environnements complexes, pluri-sociaux et multilingues, que ce soit dans une relation import/export ou dans la collaboration avec des équipes pluri-culturelles. La formation m'a permise d’acquérir une bonne connaissance des grands marchés étrangers et des techniques du commerce international, tout en me permettant de travailler son comportement managérial et commercial.

Les métiers exercés le plus fréquemment sont : responsable des ventes export, attaché technico-commercial, ingénieur commercial, assistant export, acheteur import/export, représentant export, chef de zone import/export, chargé d’affaires internationales.

Elle n'est plus à présenter mais voici, en quelques mots, l'entreprise dans laquelle j'ai eu ma première vraie expérience.

Une Major du transport aérien mondial

AIR FRANCE est l'une des deux compagnies aériennes filiales d'AIR FRANCE KLM, 1er groupe mondial de transport aérien pour le chiffre d'affaires. Le capital de la société AIR FRANCE est détenu à 100 % par AIR FRANCE KLM.

La stratégie du groupe AIR FRANCE, menée depuis plusieurs années, est une stratégie de croissance rentable capitalisant des atouts fondamentaux :

• le hub de Roissy-CDG , permettant de relier le réseau moyen-courrier au réseau long-courrier d'AIR FRANCE et de ses partenaires ;
• un réseau équilibré , offrant une couverture naturelle de ses risques ;
• une relation forte avec ses clients ;
• une alliance mondiale, très intégrée et en développement ;
• une politique stricte de contrôle des coûts.

Grâce à cette stratégie, AIR FRANCE dégage des résultats bénéficiaires depuis sept ans malgré les années de crise. Elle lui permet également de jouer aujourd'hui un rôle leader dans la consolidation du secteur à travers le rapprochement avec KLM.

Des chiffres qui parlent

AIR FRANCE, c'est :

• 71 600 collaborateurs

• 383 avions en exploitation au 31 mars 2007

• 1 800 vols quotidiens

• 189 destinations réparties dans 83 pays

• Membre fondateur de l'alliance SkyTeam 

Sagem est l'entreprise dans laquelle j'effectue mon stage de fin d'études en tant que commerciale export grands comptes.

Sagem Communication est présent dans deux grands domaines d’activité la communication mobile et la communication haut débit.

La marque de téléphones mobiles SAGEM est fortement présente sur les marchés mondiaux de la téléphonie mobile, grâce à ses innovations issues des nouvelles technologies de communication. Des partenariats industriels et commerciaux établis avec d’autres acteurs de l’industrie des télécommunications, comme Bird (Chine) et Gradiente (Brésil), lui permettent d’accéder à de nouveaux marchés dans le monde.

Dans le domaine de la communication haut débit, Sagem Communication conçoit, développe et fabrique une gamme complète de produits qui répondent aux marchés en forte croissance du haut débit, de l’image et de l’impression. Sa capacité d’innovation permet à ses produits de pénétrer ces marchés hautement compétitifs grâce à de fortes ruptures technologiques. Dans ce domaine, Sagem Communication dispose d’un réseau européen de filiales commerciales (NSO) extrêmement dense assurant le référencement de la marque Sagem auprès des plus grandes enseignes européennes.

Président-directeur général : Xavier Lagarde
Chiffre d’affaires 2006 : 2 167 millions d’euros (au 31 décembre 2006)
Effectifs : 4 338 (au 31 mars 2007)

Parti des Etats-Unis, le mouvement se propage dans le monde entier. De plus en plus de pays empêchent le rachat de leurs entreprises par des étrangers.

Du Canada à la Chine, partout dans le monde, les gouvernements imposent – ou prévoient – des restrictions sur les rachats par des étrangers de sociétés, d’usines et de biens immobiliers dans leurs pays. A tel point que les autorités américaines craignent que la prolifération de ces mesures ne finisse par freiner la croissance économique mondiale. Il s’agit notamment de barrières administratives et juridiques élevées contre l’investissement direct étranger (IDE), qui consiste pour des étrangers à acheter des actifs physiques d’un pays, au lieu d’investir indirectement via la Bourse ou le marché obligataire.
Pour l’heure, les flux massifs de capitaux d’investissement qui circulent ne s’en trouvent pas ralentis. Tout au contraire, l’investissement direct étranger explose. Les autorités américaines n’en sont pas moins préoccupées, car pour la première fois depuis des dizaines d’années, les entraves à l’IDE s’accroissent au lieu de reculer, une tendance dont pâtiraient particulièrement les multinationales. En Chine, une nouvelle réglementation permet d’empêcher les acquisitions d’entreprises chinoises si elles sont considérées comme dangereuses pour la “sécurité économique” du pays. En Russie, le gouvernement envisage de limiter l’investissement étranger dans trente-neuf secteurs “stratégiques”, en particulier les ressources naturelles et les biotechnologies. Le Canada, l’un des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, étudie l’opportunité de durcir les conditions portant sur la nationalité des repreneurs, réagissant ainsi à une série de prises de contrôle étrangères, comme l’acquisition en 2006 du sidérurgiste canadien Dofasco par le français Arcelor.

Entre 1999 et 2003, un tiers des PME françaises est passé sous le contrôle de groupes. Le gouvernement veut les aider à grandir et exporter.

Certains considèrent l'absorption de PME par des groupes comme une chance pour le développement des entreprises françaises, notamment à l'international ; d'autres, au contraire, comme une menace pour le vulnérable tissu des petites et moyennes entreprises. Quoi qu'il en soit, le tiers des PME (de 20 à 500 salariés) indépendantes en 1999 était passé sous contrôle d'un groupe en 2003, selon une étude publiée hier par l'Insee. En quatre ans, 15 200 PME sont ainsi entrées dans un groupe, sans que le nouvel ensemble dépasse toutefois, dans les trois quarts des cas, 250 salariés. Mais, après leur intégration, le développement de ces entreprises « s'accélère sensiblement », relève l'étude.

Les groupes ne choisissent pas n'importe quelle entreprise comme « proie » : ils visent les entreprises qui ont la plus forte croissance de valeur ajoutée. Elles sont aussi deux fois plus nombreuses dans les secteurs de haute technologie. Ils les choisissent enfin avec une meilleure connaissance des marchés à l'export « dans la mesure où la conquête des marchés étrangers implique des coûts supplémentaires de marketing, d'acheminement du produit et de distribution sur place ». Ce qui permet à l'entreprise « absorbante » d'acquérir « de nouveaux savoir-faire en exportant ou en se mettant à exporter », note l'étude.

Reste que ces PME exportatrices, il faut en augmenter le nombre, en leur permettant de grandir, de se développer et de regagner des parts de marché. C'est l'une des priorités du gouvernement, qui veut mettre fin au « décrochage de nos moyennes entreprises dans la compétition internationale », selon l'expression utilisée hier par François Fillon.

Stéphane Jobert est directeur de Kuribay HR Consulting.

« La mobilité est un tout. Le candidat doit pouvoir se transformer pour s'adapter aux besoins de l'em­ployeur et du marché en général. Dans une recherche d'emploi, le candidat doit savoir miser sur sa mobilité géographique et ne pas hésiter à étendre ses recherches à d'autres zo­nes que celle où il est placé.

» Mais cette mobilité géographique n'est pas toujours envisageable, no­tamment pour des raisons familiales. Il faut alors se montrer mobile sur ses compétences pour être au diapason des besoins de l'entreprise de sa zone géographique, accepter un poste à moindre responsabilité ou encore s'engager dans une formation.

» Il ne faut pas non plus négliger la mobilité à développer tout au long de sa vie professionnelle pour s'adapter aux évolutions technologiques, aux besoins du marché. Cultiver son employabilité est donc essentiel, or malgré toutes les avancées en matière de formation, tous les candidats n'ont pas encore pris conscience des efforts qu'exige la mo­bilité. »

CV

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